vendredi 31 juillet 2009
Le jour J...
mardi 28 juillet 2009
Avant de partir...
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vendredi 24 juillet 2009
La vengeance...
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Le message est clair... mes ratons n'ont pas apprécié le vieux bloc de toffu que j'ai déposé sur la galerie à leur intention. Je crois comprendre qu'ils auraient préféré la moulée pour chats.
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jeudi 23 juillet 2009
Trésors épistolaires...
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Puis je mis la main sur ces trois ou quatre enveloppes brunes qui, à l'époque me firent tant rêver.
Cependant, le véritable trésor, celui qui m'a profondément émue, fut la découverte d'un court message. À première vue, il n'avait rien d'extraordinaire: si son ton était joyeux, son contenu lui, semblait banal. Mais ce petit bout de papier, aussi précieux que rare, représente tout ce qu'il me reste de celui qui l'a écrit...mon Grand Frère Disparu.
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dimanche 19 juillet 2009
Dépendaison de crémaillère...
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Heureusement, on en avait deux. Pas des bières... des scrouncheux!
Pendant ce temps, Stef jouait avec le feu. Un vrai gamin! Tout y est passé: des vieilles planches trouvées sous la galerie, des talons de chèque datés de 1999, des chemises de carton. Mais il faut que je vous confie quelque chose: il nous a fallu sortir le "banc de scie" dehors. Pourquoi? Parce que môssieur trouvait qu'il serait long et ardu de recouper des pièces de bois de 3X10, probablement des anciennes marches, avec une égoïne. Pfff... où sont les vrais mecs! Je vous le demande!
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Voilà ce que Stef a trouvé sous l'espace-débarras de la galerie arrière. Hé! Je ne savais même pas que j'avais encore cette petite brouette! Généreux, il a offert de me débarrasser de certains morceaux de bois, de sacs de terre éventrés, de vieux poteaux de rampe et de quelques autres trucs qui dorénavant, s'accumuleront chez lui. Cool!!
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Le salon, à l'étage, s'est vite retrouvé nu.
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J'ai fait le nécessaire pour que personne ne souffre de déshydratation. Certains ont préféré ce liquide:
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jeudi 16 juillet 2009
Organisation étof-Fée…
Pendant que Paule déambulait à travers les pièces de la petite maison rouge qui est dorénavant la sienne, imaginant sa nouvelle cuisine, les chambres qu’elle fera aménager dans ce qui est encore mon atelier de couture et qu’Elmut, son fils, mesurait, prenait des notes et dessinait des plans, moi, je dressais les miens.
Ma presque demi-douzaine de copines et copain qui me donneront un coup de pouce samedi, ne risquent pas de se les tourner. De la cave au grenier, il y en aura pour tous les goûts et … les dégoûts!
Hier, d’un air soucieux, Baladine me demanda si j’allais leur dire ce qu’il y aurait à faire!!! Comment? Ai-je pensé! Elle ne connaît pas mon don inné pour la planification?
-Chère amie, avais-je envie de lui rétorquer, sache qu’organiser, déléguer, diriger, commander et faire travailler les autres pendant que je
Pffff… Moi? Ne pas avoir de plan!!!
mercredi 15 juillet 2009
Rien à cacher?
... rien n’est jamais aussi ordonné, bien classé, limpide et net qu’il n'y parait.
Car on a tous…
...un squelette dans son placard grenier…
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dimanche 12 juillet 2009
Blanche-Neige et sa tribu...
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Merci Blanche-Neige, merci les filles. Vous m'avez rendu un fier service. Ce sera avec un immense plaisir que je vous reverrai là-bas, dans le Nord.
samedi 11 juillet 2009
Dernière visite chez Sylvie...
Dans son atelier se trouvait une de mes machines à coudre industrielles. Celle-ci sert à faire les ourlets des vêtements fabriqués en tissu extensible. Elle porte le nom de "coverstich". Imposante et incroyablement lourde, je dus retirer la tête et le support à bobines de fil de leur base pour qu'on arrive à la caser, en pièces détachées, dans ma fourgonnette. Merci à Luc et aux deux jeunes hommes qui ont dû faire travailler leurs muscles et ... leur cervelle pour trouver une façon de loger la table à l'arrière de mon bazou.
Cette dernière visite à St-Georges m'aura permis de dire aurevoir à cette collaboratrice minutieuse, généreuse, professionnelle et vraiment sympathique que j'ai côtoyée pendant plus de six ans. Chère Sylvie, merci pour tout. Grâce à toi, j'ai pu faire un bout de chemin de plus dans cette aventure que fut Lambertrand.
vendredi 10 juillet 2009
Voies d’extinction…
Ma famille le sait, mes amis l’ont constaté et plusieurs d’entre vous s’en doutent. J’aime toutes les bêtes; les petites et les grosses. Celles qui ont des poils, des plumes ou des écailles. Qu’elles aient des antennes, une trompe ou même des anneaux.
J’ai aussi un grand respect pour les arbres, les plantes et certaines «mauvaises herbes». J’adore la teinte et le parfum des pissenlits, je craque pour les fleurs du chardon et pour les si jolies épervières orangées. Vous ne serez sans doute pas surpris d’apprendre, qu’incapable de mettre fin aux souffrances de trois géraniums faméliques qui avaient l’air d’avoir séjourné chez Baladine, je les transplantai dans le potager pour qu’ils finissent leur vie en douceur.
Les pages de mes Contes de Fée regorgent d'anecdotes parfois ridicules, comme le sauvetage d’une minuscule mouche destinée à servir d’encas à une énorme araignée. Ou fantasques, comme la fois où, sur la route 108, je fis stopper ma voiture … et celles qui me suivaient, pour tenter de persuader une jeune marmotte de regagner le fossé, alors qu’un poids lourd se dirigeait vers nous.
Moi qui suis plutôt discrète, qui n’aime pas attirer l’attention et qui, pour reprendre l’expression de mon ancien patron, suis «posée», vous seriez étonnés de voir la transformation qui s’opère lorsque j’aperçois une bestiole en danger. Exit le flegme, la placidité et le calme. Je deviens exaltée, survoltée et un brin téméraire. Vous vous souvenez de Hulk? Hé bien, imaginez une version miniature, sans le teint vert, quoique… Laissez-moi vous raconter.
C’était l’été, il y a 3 ou 4 ans. Je venais de fermer la boutique et j’attendais au feu rouge, à l’intersection d’une artère achalandée. Au milieu de la chaussée, quelque chose attira mon regard. Une masse sombre se trouvait pratiquement sur la ligne blanche et les voitures devaient faire un écart pour ne pas rouler dessus. Je compris rapidement de quoi il s’agissait. Aussi, dès que la lumière passa au vert, je m’engageai sur la voie transversale et fis monter ma camionnette sur le trottoir. À peine le moteur coupé, je bondis de l’habitacle et courus au milieu de la rue. Arrivée près de la boule d’un gris foncé, je n’eus guère le temps de réfléchir car le feu passait au jaune et les voitures commençaient à avancer. Je me penchai et pris entre mes mains la chose tiède qui demeura immobile. Je revins sur mes pas, grimpai un talus en tentant de ne pas me prendre les pieds dans ma robe longue et je déposai le petit paquet de plumes dans l’herbe dense. C’était un pigeon. Comment s’était-il retrouvé dans cette fâcheuse position? A-t-il survécu? L’histoire ne le dit pas.
Outre quelques araignées, mouches, bourdons et escargots, je n’avais pas réalisé de réels sauvetages depuis octobre 2008. Mais ça n’allait pas durer…
Lundi dernier, alors que je répondais à un courriel de Grande Sœur, je vis par la fenêtre ce qui me sembla une feuille morte qui tourbillonnait sur l’asphalte, comme soufflée par le vent. Le vent? Quelque chose clochait. Les arbres étaient immobiles et la «feuille» ne cessait de décrire des cercles, se déplaçant d’un côté, puis de l’autre dans la voie de droite.
Le Hulk en moi se réveilla et je me précipitai dans la rue comme si j’avais le diable aux trousses. La feuille n’en était pas une, vous l’aurez deviné. C’était une toute petite bestiole affolée, et qui, visiblement, était aussi myope qu’une taupe. Elle tournait en rond, cherchant un repère qu’elle ne trouvait pas. Avec mes pieds, je tentai de la diriger vers le rebord de la rue, mais dès qu’elle se heurtait à mes chaussures, elle me contournait et continuait son manège. Je n’osais trop la prendre de crainte qu’elle n’ait peur et me morde. Mes nombreuses tentatives furent vaines et des voitures roulaient vers moi… enfin, vers nous qui étions au beau milieu de la chaussée! Alors, quitte à passer pour la Fée-lée du village, je levai les bras bien haut pour stopper le trafic, décidée à ne pas laisser ma petite amie se faire écrabouiller. Après de longues minutes et tout plein de véhicules qui devaient nous contourner, je me décidai à attraper la bestiole par sa courte queue. Malgré ses protestations et ses contorsions, je réussis à la transporter sur mon terrain. Doucement, je la déposai dans l’herbe longue, loin des dangers que représente la rue pour les petits campagnols perdus et qui ne voient pas plus loin que le bout de leurs moustaches.
Alors, si par une journée de chaud soleil ou après une forte pluie, vous croisez quelqu’un sur le trottoir qui, le regard rivé au sol, se penche soudainement pour ramasser ce qui semble être une brindille, ne cherchez pas plus loin. Ce sera probablement moi, ou quelqu’un avec un cœur aussi sensible, qui ne peut se résigner à abandonner à une mort certaine, lente et atroce, de pauvres lombrics égarés.
Si ça me répugne? Pas vraiment. Si j’ai peur? Mais non! En fait, le plus grand défi c’est de tenter de me souvenir que je ne dois pas me mettre les doigts dans la bouche ensuite… ou dans celle de quelqu’un d’autre (** *).
PS : Ce sera mon dernier billet avant mon déménagement. Mais promis, vous aurez droit à des photos. Parole de Hulk euh… de Fée!
mercredi 8 juillet 2009
Faire le beau temps...
Un peu plus loin, sur la route, il y avait ce charmant phare. Vous auriez dû l'apercevoir, le matin même alors que nous n'avions pas le temps de nous arrêter pour le photographier. Un ruban de brume opaque flottait en arrière plan. Ciel, que c'était beau...
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Voilà, j'ai vidé mon appareil de tous ses souvenirs, enfin, de presque tous... Mais je le remplirai bientôt de bien d'autres clichés. Vous pourrez ainsi avoir l'impression de participer à mon déménagement sans avoir à lever le petit doigt. Certains de mes amis eux, n'auront pas votre chance et c'est à la sueur de leur front et de leurs aisselles qu'ils gagneront leur croute ... de pizza.
Vous dites? Vous ne savez toujours pas quel est le dénominateur commun entre une mouche, un pigeon, une marmotte et un campagnol? Patience, la réponse est en train de mijoter lentement, entre 2 boites et 4 rendez-vous..
lundi 6 juillet 2009
Dénominateur commun...
Vendu...
Comment? Si j'avais remarqué les chaussettes? Sincèrement, vous croyez que qui que ce soit pourrait les manquer?
dimanche 5 juillet 2009
Il était une fois Port-Royal...
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vendredi 3 juillet 2009
Halte à Fort Anne...
Puis, en soirée, avant de reprendre la route vers Kingston, nous nous sommes arrêtés au Garrison House Inn, un restaurant tout à fait charmant. Si c'était bon? Meilleur encore... et nous avons eu le plaisir de goûter un vin de la Nouvelle-Écosse qui nous a littéralement émerveillé les papilles! Lequel? Bonne question, très bonne question. N'est-ce pas mon insulaire?
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.PS: Vous pouvez cliquer sur les photos pour admirer les détails. Quant aux mots surlignés, ils vous dirigeront vers des sites qui vous en apprendront d'avantage. Cool hein?