Dans son atelier se trouvait une de mes machines à coudre industrielles. Celle-ci sert à faire les ourlets des vêtements fabriqués en tissu extensible. Elle porte le nom de "coverstich". Imposante et incroyablement lourde, je dus retirer la tête et le support à bobines de fil de leur base pour qu'on arrive à la caser, en pièces détachées, dans ma fourgonnette. Merci à Luc et aux deux jeunes hommes qui ont dû faire travailler leurs muscles et ... leur cervelle pour trouver une façon de loger la table à l'arrière de mon bazou.
Cette dernière visite à St-Georges m'aura permis de dire aurevoir à cette collaboratrice minutieuse, généreuse, professionnelle et vraiment sympathique que j'ai côtoyée pendant plus de six ans. Chère Sylvie, merci pour tout. Grâce à toi, j'ai pu faire un bout de chemin de plus dans cette aventure que fut Lambertrand.
1 commentaire:
Hummmm... Beaucoup de petits deuils à faire, n'est-ce pas?
Enregistrer un commentaire