Comme je l’ai déjà mentionné, ma maison subit des rénovations depuis les 15 dernières années. C’est un peu une histoire sans fin. M’enfin…
Récemment, j’ai fait remplacer toutes les fenêtres du premier étage. Les anciennes dataient de la construction de la maison quelque part en 1945. Elles fermaient mal, avaient besoin d’être doublées de châssis l’hiver et de monstrueux moustiquaires tout rapiécés, l’été. Et les fameuses contre-fenêtres étaient tellement lourdes que je devais demander de l’aide pour les enlever et les installer. J’avais développé une tactique ingénieuse : j’invitais des amis (les couples étaient admis, mais il devait y avoir au moins 1 gars avec des gros bras) au mois de mai et à la fin octobre et, innocemment je mentionnais qu’il me faudrait très bientôt enlever ou remettre les contre-fenêtres. Ça fonctionnait à tout coup.
Mais aussi jolies que pouvaient être ces vieilles fenêtres, elles ne fermaient plus (sauf à coup de marteau), devaient être recouvertes de grandes feuilles de plastique transparent dès l’automne et contribuaient à refroidir la maison et à faire grimper mes factures d’électricité. J’ai alors choisi d’investir dans mon nid plutôt que dans Hydro-Québec, et me voilà aujourd’hui avec des fenêtres toutes neuves (et propres!!!), hermétiques, jolies quoiqu’ en PVC … rien n’est parfait.
Je n’avais donc plus aucune bonne raison de reporter la fabrication des rideaux et l’installation des pôles. J’avais tenté de me convaincre que je devais attendre d’avoir des cadrages, mais je n’en pouvais plus de voir des panneaux de tissus cloués devant les fenêtres. Et j’avoue que de penser que j’aurais bientôt un vrai salon, a été plus fort que ma costaude procrastination. C’est tout dire.
Fébrile, je me mis donc à la recherche de la boite qui contenait les fameuses pôles à rideaux achetées il doit bien y avoir 2 ans. Je trouve la boite, l’ouvre et déballe une pôle. Mmm… curieux… elle me semble bien courte. En vérifiant sa longueur étirée au maximum, je me suis rendue compte que ça n’allait pas. Pas du tout. Elle mesurait 48 pouces alors que j’avais besoin de 54 pouces minimum. Et j’en avais 8 comme ça. Je ne répéterai pas ici les quelques gros mots qui me sont passés par la tête, nous sommes trop près de Noël pour que je prenne une telle chance. J’ai un ami très « haut placé » qui lit mon blog.
Je me voyais tenter de récupérer les anciennes tringles à rideau et d’essayer de trouver un moyen pour les faire tenir car évidemment, les attaches murales étaient égarées depuis des années! Je calculai mentalement ce qu’il m’en coûterait pour acheter des pôles, jolies, pour ces 8 fenêtres. Ouch…
Chassant ces pensées pour le moins désagréables, je décidai d’utiliser les 2 dernières pôles du même modèles, mais celles-là beaucoup plus longues et qui étaient destinées au rez-de-chaussée, pour les installer aux 2 fenêtres du salon qui donnent vis-à-vis celles de mon voisin, au nord. Dans le salon, les 2 autres sont camouflées par les arbres qui entourent ma maison et pourraient bien attendre un peu.
En quête de ces 2 pôles que j’avais aperçues précédemment, que vois-je? Une autre boite. Je l’ouvre et… surprise! Elle contenait plein de pôles pivotantes! Je me suis souvenue que nous avions acheté ce modèle à cause des vieilles fenêtres du haut qui étaient à battant! (note à moi même : « recommencer à prendre du Ginkgo Biloba »). Elles sont juste de la bonne longueur. Et super jolies! Il y en a 8 paires. Quant aux 8 pôles de 48 pouces, si je calcule les petites fenêtres encore nues au rez-de-chaussée, il m’en reste 7. Ha bon!
Une véritable histoire de pôles à en perdre le Nord!!!
Récemment, j’ai fait remplacer toutes les fenêtres du premier étage. Les anciennes dataient de la construction de la maison quelque part en 1945. Elles fermaient mal, avaient besoin d’être doublées de châssis l’hiver et de monstrueux moustiquaires tout rapiécés, l’été. Et les fameuses contre-fenêtres étaient tellement lourdes que je devais demander de l’aide pour les enlever et les installer. J’avais développé une tactique ingénieuse : j’invitais des amis (les couples étaient admis, mais il devait y avoir au moins 1 gars avec des gros bras) au mois de mai et à la fin octobre et, innocemment je mentionnais qu’il me faudrait très bientôt enlever ou remettre les contre-fenêtres. Ça fonctionnait à tout coup.
Mais aussi jolies que pouvaient être ces vieilles fenêtres, elles ne fermaient plus (sauf à coup de marteau), devaient être recouvertes de grandes feuilles de plastique transparent dès l’automne et contribuaient à refroidir la maison et à faire grimper mes factures d’électricité. J’ai alors choisi d’investir dans mon nid plutôt que dans Hydro-Québec, et me voilà aujourd’hui avec des fenêtres toutes neuves (et propres!!!), hermétiques, jolies quoiqu’ en PVC … rien n’est parfait.
Je n’avais donc plus aucune bonne raison de reporter la fabrication des rideaux et l’installation des pôles. J’avais tenté de me convaincre que je devais attendre d’avoir des cadrages, mais je n’en pouvais plus de voir des panneaux de tissus cloués devant les fenêtres. Et j’avoue que de penser que j’aurais bientôt un vrai salon, a été plus fort que ma costaude procrastination. C’est tout dire.
Fébrile, je me mis donc à la recherche de la boite qui contenait les fameuses pôles à rideaux achetées il doit bien y avoir 2 ans. Je trouve la boite, l’ouvre et déballe une pôle. Mmm… curieux… elle me semble bien courte. En vérifiant sa longueur étirée au maximum, je me suis rendue compte que ça n’allait pas. Pas du tout. Elle mesurait 48 pouces alors que j’avais besoin de 54 pouces minimum. Et j’en avais 8 comme ça. Je ne répéterai pas ici les quelques gros mots qui me sont passés par la tête, nous sommes trop près de Noël pour que je prenne une telle chance. J’ai un ami très « haut placé » qui lit mon blog.
Je me voyais tenter de récupérer les anciennes tringles à rideau et d’essayer de trouver un moyen pour les faire tenir car évidemment, les attaches murales étaient égarées depuis des années! Je calculai mentalement ce qu’il m’en coûterait pour acheter des pôles, jolies, pour ces 8 fenêtres. Ouch…
Chassant ces pensées pour le moins désagréables, je décidai d’utiliser les 2 dernières pôles du même modèles, mais celles-là beaucoup plus longues et qui étaient destinées au rez-de-chaussée, pour les installer aux 2 fenêtres du salon qui donnent vis-à-vis celles de mon voisin, au nord. Dans le salon, les 2 autres sont camouflées par les arbres qui entourent ma maison et pourraient bien attendre un peu.
En quête de ces 2 pôles que j’avais aperçues précédemment, que vois-je? Une autre boite. Je l’ouvre et… surprise! Elle contenait plein de pôles pivotantes! Je me suis souvenue que nous avions acheté ce modèle à cause des vieilles fenêtres du haut qui étaient à battant! (note à moi même : « recommencer à prendre du Ginkgo Biloba »). Elles sont juste de la bonne longueur. Et super jolies! Il y en a 8 paires. Quant aux 8 pôles de 48 pouces, si je calcule les petites fenêtres encore nues au rez-de-chaussée, il m’en reste 7. Ha bon!
Une véritable histoire de pôles à en perdre le Nord!!!
1 commentaire:
Chère Fée,
Hum ! Intéressant l'histoire de «pôles»
N'oublie pas, si tu as besoin d'un menuisier, j'en connais un très bon et qui n'est pas «chérant»
Enregistrer un commentaire