… a une fin. Encore quelques jours de congé, histoire de revenir sur terre, et je me remettrai au travail.
La dernière semaine fut féerique. Je suis allée de découverte en découverte; roulé sur des routes que je ne connaissais pas. Joué le rôle de copilote pour mieux nous faire rater des sorties, tourner à droite alors qu’il fallait le faire à gauche, sans pour autant arriver à ternir le sourire du conducteur désigné (et résigné !). J’ai foulé pour la première fois le sol de lieux voisins mais inconnus. Humé le parfum d’endroits connus mais ignorés depuis plus de vingt ans. Senti le temps s’arrêter et mon cœur s’enivrer de liberté et de douceur. Mes jambes se sont déliées d’avantage en une semaine que durant les deux dernières années. J’ai respiré le bon air de nos hivers québécois comme au temps de mon Abitibi natale; eu le bout du nez gelé, les joues rougies par le froid mais les yeux brillants de tant de bonheur.
Ces courtes vacances m’ont transportée sur les routes comme à l’intérieur de moi. Elles sont bel et bien terminées mais leur souvenir survit. Il me revient des images magnifiques, des sensations délicieuses qui ne s’effaceront jamais et que j’aimerais vivre à nouveau. Et comme un ami me le rappelait: «L’avenir n’est pas encore écrit…».
La dernière semaine fut féerique. Je suis allée de découverte en découverte; roulé sur des routes que je ne connaissais pas. Joué le rôle de copilote pour mieux nous faire rater des sorties, tourner à droite alors qu’il fallait le faire à gauche, sans pour autant arriver à ternir le sourire du conducteur désigné (et résigné !). J’ai foulé pour la première fois le sol de lieux voisins mais inconnus. Humé le parfum d’endroits connus mais ignorés depuis plus de vingt ans. Senti le temps s’arrêter et mon cœur s’enivrer de liberté et de douceur. Mes jambes se sont déliées d’avantage en une semaine que durant les deux dernières années. J’ai respiré le bon air de nos hivers québécois comme au temps de mon Abitibi natale; eu le bout du nez gelé, les joues rougies par le froid mais les yeux brillants de tant de bonheur.
Ces courtes vacances m’ont transportée sur les routes comme à l’intérieur de moi. Elles sont bel et bien terminées mais leur souvenir survit. Il me revient des images magnifiques, des sensations délicieuses qui ne s’effaceront jamais et que j’aimerais vivre à nouveau. Et comme un ami me le rappelait: «L’avenir n’est pas encore écrit…».
2 commentaires:
Souvenir de vacances heureuses !!
Génial et choyé.
Très content pour toi.
J'ai connu des vacances qui ont laissé des gouts amers...
Un ouragan à Cuba en plein période de séparation...Amer , très amer...
Tourner à droite plutôt qu'à gauche ne revient il pas à prendre les routes "sans direction" de Jardin, suivre nos envies, vivre à 100% l'instant présent, le rêve quoi !
Magique, féérique, du pur bonheur.
Certes «L’avenir n’est pas encore écrit…» mais il ne tient qu'à nous de le diriger vers où l'on aimerait aller car on a toujours le choix.
"va ou le vent te mène"... si tu le désires.
Emilie
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