Hier je m’étais dressé une jolie petite liste de choses à faire, des trucs pas trop long qui se feraient «les doigts dans le nez», enfin, c'est une façon de parler :
- Repasser et mettre en boite les 4 robes de mariée ;
- Étendre le tissu pour une des deux coupes prévues et la commencer.
Bon, ça peut paraître court comme liste mais comme je devais passer à l’usine et aller à différents rendez-vous, je ne suis arrivée chez-moi que vers 16h30. Ainsi, après quelques heures de boulot en soirée, je me serais couchée satisfaite et fière de moi.
Quant à la maîtresse de ma future coloc Taïka, surnommée Lise, sa liste à elle était :
- Repeindre le plafond de sa chambre ;
- Commencer la peinture des murs.
A mon arrivée chez-moi, j’aperçu la voiture de Lise dans le stationnement. Une fois entrée dans la maison, je suis montée à l’étage, m’attendant à renifler les effluves de la peinture neuve. Snif ? Rien. Et pas de Lise non plus. J’eu beau observer le plafond, les murs, ils étaient toujours d’un blanc uniforme, sauf un tout petit rectangle d’environ 5 X 10 cm peint en un beige sable.
Le temps de redescendre et Lise arrivait. Comme je m’apprêtais à me faire un thé, je lui en offris un qu’elle accepta. Et nous voilà assises à la table à regarder les cartes de coloris de peinture. Mon estomac me criait depuis quelques longues minutes qu’il n’avait presque rien ingurgité depuis le matin, j’invitai donc Lise à partager mon souper. Une bonne idée en entraînant une autre, je suggérai qu’on ouvre la bouteille de vin qui était restée du souper de solos d’il y a 2 semaines (ou 3 ?). Et là, juste le temps au bouchon de faire «poc» et nos listes ont disparu de notre esprit, comme nos bonnes intentions. Si c’est pas de la magie ça !
Après avoir sifflé la bouteille de vin, on a fait plein de petites choses ensemble pour se donner un avant-goût de ce que serait notre cohabitation: pendant que Lise s’occupait de la vaisselle, moi je répondais à un courriel urgent (enfin, c’est ce que je lui ai fait croire !!!). Nous avons ensuite visité le site web de l’ami Daniel Victor (Lise adore ses diables), parlé de nos amours (…), de nos amis(es) et de plein d’autres trucs que je ne pourrais retranscrire ici.
Autour de 22h00, lorsque Lise est repartie vers son futur-ex-chez-elle, je suis allée me coucher sans me faire prier, légèrement euphorique. Et c’est beaucoup plus tôt que d’habitude, que Morphée m’accueillit dans ses bras.
Et ma liste de tâches à accomplir dans tout ça ? Bah… je travaillerai plus tard ce soir… à moins que Lise, qui doit venir repeindre sa chambre, n’arrive avec une bouteille de vin !!!
Ah oui ! Il ne reste plus que 6 jours avant mes vacances...
- Repasser et mettre en boite les 4 robes de mariée ;
- Étendre le tissu pour une des deux coupes prévues et la commencer.
Bon, ça peut paraître court comme liste mais comme je devais passer à l’usine et aller à différents rendez-vous, je ne suis arrivée chez-moi que vers 16h30. Ainsi, après quelques heures de boulot en soirée, je me serais couchée satisfaite et fière de moi.
Quant à la maîtresse de ma future coloc Taïka, surnommée Lise, sa liste à elle était :
- Repeindre le plafond de sa chambre ;
- Commencer la peinture des murs.
A mon arrivée chez-moi, j’aperçu la voiture de Lise dans le stationnement. Une fois entrée dans la maison, je suis montée à l’étage, m’attendant à renifler les effluves de la peinture neuve. Snif ? Rien. Et pas de Lise non plus. J’eu beau observer le plafond, les murs, ils étaient toujours d’un blanc uniforme, sauf un tout petit rectangle d’environ 5 X 10 cm peint en un beige sable.
Le temps de redescendre et Lise arrivait. Comme je m’apprêtais à me faire un thé, je lui en offris un qu’elle accepta. Et nous voilà assises à la table à regarder les cartes de coloris de peinture. Mon estomac me criait depuis quelques longues minutes qu’il n’avait presque rien ingurgité depuis le matin, j’invitai donc Lise à partager mon souper. Une bonne idée en entraînant une autre, je suggérai qu’on ouvre la bouteille de vin qui était restée du souper de solos d’il y a 2 semaines (ou 3 ?). Et là, juste le temps au bouchon de faire «poc» et nos listes ont disparu de notre esprit, comme nos bonnes intentions. Si c’est pas de la magie ça !
Après avoir sifflé la bouteille de vin, on a fait plein de petites choses ensemble pour se donner un avant-goût de ce que serait notre cohabitation: pendant que Lise s’occupait de la vaisselle, moi je répondais à un courriel urgent (enfin, c’est ce que je lui ai fait croire !!!). Nous avons ensuite visité le site web de l’ami Daniel Victor (Lise adore ses diables), parlé de nos amours (…), de nos amis(es) et de plein d’autres trucs que je ne pourrais retranscrire ici.
Autour de 22h00, lorsque Lise est repartie vers son futur-ex-chez-elle, je suis allée me coucher sans me faire prier, légèrement euphorique. Et c’est beaucoup plus tôt que d’habitude, que Morphée m’accueillit dans ses bras.
Et ma liste de tâches à accomplir dans tout ça ? Bah… je travaillerai plus tard ce soir… à moins que Lise, qui doit venir repeindre sa chambre, n’arrive avec une bouteille de vin !!!
Ah oui ! Il ne reste plus que 6 jours avant mes vacances...
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