Ça y est. Le blitz est commencé. Des lots de vêtements reviennent peu à peu de chez le sous-traitant. Comme on pouvait s’y attendre, y a eu des retards. Deux jours perdus… 16 heures à rattraper. A cause d’une couturière qui n’a pas respecté la date de livraison de son contrat. Permettez-moi … Grrrrrrrrr
Bon, heureusement, Sylvie, ma couturière-aide-à-la-finition-presseuse-préposée-à-l’expédition, est très efficace (et ne perd pas son temps devant son ordi, elle…) et met les bouchées doubles. Nous nous partageons la tâche, de la finition jusqu’à la mise en boite pour l’expédition dans les boutiques. Je suis privilégiée de travailler avec cette fille. Cela fait maintenant 6 ans que dure notre collaboration et sans elle, je n’y arriverais tout simplement pas.
J’ai même pu lui refiler une partie des corsages que j’avais à finir, afin qu’elle puisse rentabiliser son congé forcé en attendant qu’elle reçoive les vêtements qui lui seront remis en retard. Je n'ai pas trop protesté lorsqu’elle m’a offert de prendre une partie de mon lot… je suis tellement conciliante lorsqu’il s’agit de moins travailler! Ça m’en fera 33 de moins. Yes …
Ce n’est qu’à 17h00 aujourd’hui que j’ai terminé le repassage d’une petite vingtaine de ces corsages. J’ai pris un peu de retard dans mon horaire à cause du fer que m’a refilé Ex et qu’il m’a fallu nettoyer, détartrer et installer.
Après plusieurs semaines sans pressage, j’ai repris le beat. Ça ne se perd pas… comme la bicyclette y paraît. Lorsqu’on a repassé des centaines de vêtements d’un même modèle, la routine se réinstalle après le 2e. Manche gauche, manche droite puis le corps, en commençant toujours par la latérale gauche (pour ne pas repasser 2 fois au même endroit et ainsi perdre du temps). Puis un coup de fer sur les deux découpes médianes où ont été posés les œillets, accrochage sur le cintre, plaçage des 2 manches pour éviter que ça ne se froisse (fibres naturelles = très froissant lorsque fraîchement repassé). Le tout ne doit prendre que 5 minutes, pas plus. Après une vingtaine de vêtements, on arrive à le faire en 4 minutes.
Cependant, demain, après le laçage de ces 18 chemisiers, je serai à mon tour en pénurie de finition. Mais ça devrait être de courte durée. J’attends le coup de fil d’une des couturières de mon sous-traitant; dès qu’elle aura une trentaine de corsages cousus, elle m’appellera pour que je passe les chercher et que je poursuive la finition pendant qu’elle terminera la confection de la balance du lot. Je prévois ça pour samedi.
En attendant, grâce à Sylvie, ce sera à mon tour d’être en congé forcé. C’est pas drôle …je vais devoir me remettre à la procrastination… Misère…
Bon, heureusement, Sylvie, ma couturière-aide-à-la-finition-presseuse-préposée-à-l’expédition, est très efficace (et ne perd pas son temps devant son ordi, elle…) et met les bouchées doubles. Nous nous partageons la tâche, de la finition jusqu’à la mise en boite pour l’expédition dans les boutiques. Je suis privilégiée de travailler avec cette fille. Cela fait maintenant 6 ans que dure notre collaboration et sans elle, je n’y arriverais tout simplement pas.
J’ai même pu lui refiler une partie des corsages que j’avais à finir, afin qu’elle puisse rentabiliser son congé forcé en attendant qu’elle reçoive les vêtements qui lui seront remis en retard. Je n'ai pas trop protesté lorsqu’elle m’a offert de prendre une partie de mon lot… je suis tellement conciliante lorsqu’il s’agit de moins travailler! Ça m’en fera 33 de moins. Yes …
Ce n’est qu’à 17h00 aujourd’hui que j’ai terminé le repassage d’une petite vingtaine de ces corsages. J’ai pris un peu de retard dans mon horaire à cause du fer que m’a refilé Ex et qu’il m’a fallu nettoyer, détartrer et installer.
Après plusieurs semaines sans pressage, j’ai repris le beat. Ça ne se perd pas… comme la bicyclette y paraît. Lorsqu’on a repassé des centaines de vêtements d’un même modèle, la routine se réinstalle après le 2e. Manche gauche, manche droite puis le corps, en commençant toujours par la latérale gauche (pour ne pas repasser 2 fois au même endroit et ainsi perdre du temps). Puis un coup de fer sur les deux découpes médianes où ont été posés les œillets, accrochage sur le cintre, plaçage des 2 manches pour éviter que ça ne se froisse (fibres naturelles = très froissant lorsque fraîchement repassé). Le tout ne doit prendre que 5 minutes, pas plus. Après une vingtaine de vêtements, on arrive à le faire en 4 minutes.
Cependant, demain, après le laçage de ces 18 chemisiers, je serai à mon tour en pénurie de finition. Mais ça devrait être de courte durée. J’attends le coup de fil d’une des couturières de mon sous-traitant; dès qu’elle aura une trentaine de corsages cousus, elle m’appellera pour que je passe les chercher et que je poursuive la finition pendant qu’elle terminera la confection de la balance du lot. Je prévois ça pour samedi.
En attendant, grâce à Sylvie, ce sera à mon tour d’être en congé forcé. C’est pas drôle …je vais devoir me remettre à la procrastination… Misère…
2 commentaires:
Comme les bonnes fées ça existe, cela doit être un vrai plaisir de travailler avec elle... Von courage @ vous deux et bonne continuation. Bises de la France
Merci P'tit yop pour votre encouragement... je partagerai vos bises avec Sylvie
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