Voilà quelques jours que je me tiens à l’affût. Je guette le moindre mouvement, le plus petit souffle. Je suis armée jusqu’aux dents. Deux pistolets, pas neufs mais ils tiennent le coup. Des munitions de toutes sortes; certaines pourraient être qualifiées de douces mais d’autres font de réels dégâts.
Au début, j’étais maladroite. Il m’est arrivé de manquer ma cible, de viser à côté carrément. Heureusement… pas de témoin.
Je peux maintenant affirmer que je m’en sors mieux. Je charge plus vite que mon ombre et je suis devenue une vraie terreur. Enfin, pas lorsque j’utilise le gros calibre. Surtout que je dois tirer à bout portant, et là, immanquablement, je me retrouve les mains souillées. J’ai même failli en avoir dans les cheveux, mais la catastrophe a été évitée de peu.
Cette activité commence à me coûter cher mais elle tire à sa fin. Encore quelques jours à explorer le coin, à fureter partout pour m’assurer qu’il ne reste rien à traquer et à acheter un dernier lot de cartouches. Et ce sera fini. Je tournerai définitivement la page sur ce chapitre.
Tout y est passé, du scellant acrylique, en passant par la mousse à expansion moyenne ou encore à celle faite expressément pour les contours de portes et de fenêtres. Résultat : les horribles et coûteux courants d’air, je les ai tous neutralisés, mis en échec un à un.
Il me faudra toutefois quelque temps pour réparer les dégâts. Et c’est une tâche délicate … c’est que ça colle cette mousse, cet isolant expansif! J’en ai partout sur les doigts, sous les ongles. Puis il me faudra refaire tout le chemin parcouru pour, cette fois-ci couper le surplus de la %$#&? de mousse qui dépasse en gros bourrelets disgracieux. M’enfin … je vais peut-être pouvoir travailler à l’ordi cet hiver sans devoir porter un manteau et des bottes!
Au début, j’étais maladroite. Il m’est arrivé de manquer ma cible, de viser à côté carrément. Heureusement… pas de témoin.
Je peux maintenant affirmer que je m’en sors mieux. Je charge plus vite que mon ombre et je suis devenue une vraie terreur. Enfin, pas lorsque j’utilise le gros calibre. Surtout que je dois tirer à bout portant, et là, immanquablement, je me retrouve les mains souillées. J’ai même failli en avoir dans les cheveux, mais la catastrophe a été évitée de peu.
Cette activité commence à me coûter cher mais elle tire à sa fin. Encore quelques jours à explorer le coin, à fureter partout pour m’assurer qu’il ne reste rien à traquer et à acheter un dernier lot de cartouches. Et ce sera fini. Je tournerai définitivement la page sur ce chapitre.
Tout y est passé, du scellant acrylique, en passant par la mousse à expansion moyenne ou encore à celle faite expressément pour les contours de portes et de fenêtres. Résultat : les horribles et coûteux courants d’air, je les ai tous neutralisés, mis en échec un à un.
Il me faudra toutefois quelque temps pour réparer les dégâts. Et c’est une tâche délicate … c’est que ça colle cette mousse, cet isolant expansif! J’en ai partout sur les doigts, sous les ongles. Puis il me faudra refaire tout le chemin parcouru pour, cette fois-ci couper le surplus de la %$#&? de mousse qui dépasse en gros bourrelets disgracieux. M’enfin … je vais peut-être pouvoir travailler à l’ordi cet hiver sans devoir porter un manteau et des bottes!
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