Depuis quelques jours, je travaille au développement d’une cape pour un magicien. Pas un illusionniste, non… un vrai de vrai. C’est d’ailleurs lui qui a fabriqué ma baguette magique, enfin, celle que je recevrai bientôt.
Alors j’ai mis tout mon cœur à lui dessiner et à confectionner une cape qui l’accompagnera dans ses déplacements, entre autres en forêt où il cueille ses matières premières.
Comme il habite très loin d’ici et qu’il nous est impossible de nous rencontrer pour l’instant, je travaille en quelque sorte à l’aveuglette. Je dois deviner les détails qu’il aimera, prévoir ceux qui pourraient lui déplaire (il se décrit lui-même comme un «magicien drabe», donc pas de fioriture!). Il est très grand, m’a-t-il dit, alors je m’en remets aux mesures qu’il m’a fournies sans cependant pouvoir faire essayer la cape à qui que ce soit pour vérifier les proportions : mes amis sont tous nettement plus… euh… moins grands…
Encore quelques ajustements avant de faire l’ourlet et je pourrai passer à l’étape finale qui est de trouver un moyen simple, rapide et discret d’attacher la cape au devant. Rien ne me déplairait autant que d’imaginer un magicien maugréer ou, pire, étranglé par un vêtement que j'ai conçu.
Étant en rupture de stock pour le tissu d’invisibilité, j’ai dû me rabattre sur un beau velours froissé qui a l’avantage d’avoir plus de look...
Je devine en ce moment quelques sourires incrédules … ah, mes crapauds!
Alors j’ai mis tout mon cœur à lui dessiner et à confectionner une cape qui l’accompagnera dans ses déplacements, entre autres en forêt où il cueille ses matières premières.
Comme il habite très loin d’ici et qu’il nous est impossible de nous rencontrer pour l’instant, je travaille en quelque sorte à l’aveuglette. Je dois deviner les détails qu’il aimera, prévoir ceux qui pourraient lui déplaire (il se décrit lui-même comme un «magicien drabe», donc pas de fioriture!). Il est très grand, m’a-t-il dit, alors je m’en remets aux mesures qu’il m’a fournies sans cependant pouvoir faire essayer la cape à qui que ce soit pour vérifier les proportions : mes amis sont tous nettement plus… euh… moins grands…
Encore quelques ajustements avant de faire l’ourlet et je pourrai passer à l’étape finale qui est de trouver un moyen simple, rapide et discret d’attacher la cape au devant. Rien ne me déplairait autant que d’imaginer un magicien maugréer ou, pire, étranglé par un vêtement que j'ai conçu.
Étant en rupture de stock pour le tissu d’invisibilité, j’ai dû me rabattre sur un beau velours froissé qui a l’avantage d’avoir plus de look...
Je devine en ce moment quelques sourires incrédules … ah, mes crapauds!
2 commentaires:
C'est dommage pour le tissu d'invisibilité... j'aurais bien rigolé...
J'ai bien hâte de me vêtir de tes créations.. et de mon petit chapeau pointu...
Avec tout mon respect Martin
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