Ce matin, en parcourant la section Arts et Spectacles du journal La Tribune, mon attention fut attirée par le titre d’une chronique: "Apparences trompeuses". Puis, un moment plus tard, à l’émission Samedi et rien d’autre à la radio de Radio Canada, il fut brièvement question d’une candidate étonnante qui avait participé au "Britain’s got talent 2009". Il n’en fallait pas plus pour titiller ma curiosité. Sur YouTube, je tapai donc: Suzan Boyle…
Il est vrai que j’ai un cœur de guimauve et que je m’émeus facilement, mais je vous défie de ne pas être profondément touchés par le spectacle de cette femme toute simple qui, malgré l’attitude dédaigneuse des juges et celle moqueuse de l’auditoire, a su conserver son sourire et sa candeur. Dès les premières notes, elle les a littéralement médusés, stupéfiés… éblouis. Le vidéoclip est ICI.
L’empathie et la compassion… si chacun de nous les cultivait juste un peu, le monde serait meilleur. Et nul doute que nous serions moins nombreux à ricaner et à mépriser ceux qui malgré leurs imperfections, ont le courage de leurs rêves.
Bravo Susan!
2 commentaires:
Wow! Espèce de "féé-ouineuse", qui découvre de si beaux moments de vie... J'ai pleuré ce matin, moi qui trouve que le soleil augure pour une superbe journée... Quelle belle démonstration de détermination et de croyance en ses rêves... Merci d'avoir partagé! Bonne journée xoxo
J'abonde dans le même sens que toi Bonne Fée et également dans le même sens que Fitzsou. J'ai regardé le clip hier, vendredi en pm c'était le sujet à la salle de repos où je travaille. Oui, un minumum de compassion et d'empathie de la part de chaque habitant de la planète en ferait tellement un monde meilleur. Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences et porter un jugement trop hâtif. Que cela serve de leçon et porte à la réflexion les juges de ce concours, les spectateurs et nous toutes et tous qui regarderont le clip sur YouTube. J'ai pleuré aussi, s'il y avait expression pour encore plus sensible qu'un coeur de guimauve, elle pourrait s'appliquer à moi. Vive les hypersensibles, la Bonne Amie G. de Fitzsou
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