Non, mon voisin ne fait pas pousser de l’herbe; quoique s’il en fumait de temps à autre, ça le décoincerait peut-être!!! Mais ça, c’est une histoire que je ne raconterai pas!
Je suis revenue hier d’un petit séjour de deux jours dans les Laurentides, chez l’ami Flo. Ah, les Laurentides! Une région magnifique, spectaculaire avec ses sommets plus hauts les uns que les autres. Et que dire de ses lacs, ses centres de villégiature, ses terrains de golf, ses impressionnantes demeures et son flot de touristes venus de partout?
Avec Dan et Flo, j’ai parcouru les rues de St-Jovite, découvert le petit village du Lac Mercier, sillonné des routes le long desquelles s’alignaient des petites maisons bâties près d’étangs ou près de rien du tout… Nous avons roulé dans les rues d’un nouveau développement dont les prospères propriétaires ont vue sur la station du Mont Tremblant. Puis grimpé une route toute neuve qui menait à un projet immobilier dont les maisons, une fois érigées, domineront le circuit de course automobile du même nom.
Nous avons aussi marché en forêt, très peu cependant, car des nuées de mouches noires nous ont tendu une embuscade. En plus d’être très très affamées, ces bestioles semblaient me trouver vraiment à leur goût. Mais Flo nous a rassurés: dans quelques semaines le pire sera passé. Enfin, moi je me demande s’il n’a pas dit ça pour éviter que tous ses chums qui doivent aller fêter la Saint-Jean chez-lui, ne se désistent en lisant mon billet…
Finalement, malgré tout ce que j’ai vu et admiré, ce week-end Laurentien a confirmé ma préférence pour l’Estrie. J’aime l’alternance de grands champs, de montagnes, de lacs et de forêts. Sur le chemin du retour, mon cœur battait au rythme des kilomètres et des panoramas qui défilaient de chaque côté de l’autoroute 10. Des belles fermes où paissaient des vaches, des champs nouvellement ensemencés qui alignaient leurs sillons bien droits, des vastes étendues vertes parfois plates, parfois vallonnées et bordées d’arbres. Puis à l’horizon, comme si toute cette beauté ne suffisait pas déjà à me couper le souffle, se profilaient les courbes bleutées des Appalaches. L’Estrie est vraiment incomparable.
Un jour ou l’autre il peut nous arriver de penser que l’herbe est plus verte chez le voisin, et je crois qu’il faut aller vérifier, histoire de s'en assurer. Mais souvent, en y regardant de plus près, on constate que l’autre vert est moins éclatant, que sa teinte nous plait nettement moins que celle qui pousse dans notre cour et qui, elle, émeut notre cœur…
Je suis revenue hier d’un petit séjour de deux jours dans les Laurentides, chez l’ami Flo. Ah, les Laurentides! Une région magnifique, spectaculaire avec ses sommets plus hauts les uns que les autres. Et que dire de ses lacs, ses centres de villégiature, ses terrains de golf, ses impressionnantes demeures et son flot de touristes venus de partout?
Avec Dan et Flo, j’ai parcouru les rues de St-Jovite, découvert le petit village du Lac Mercier, sillonné des routes le long desquelles s’alignaient des petites maisons bâties près d’étangs ou près de rien du tout… Nous avons roulé dans les rues d’un nouveau développement dont les prospères propriétaires ont vue sur la station du Mont Tremblant. Puis grimpé une route toute neuve qui menait à un projet immobilier dont les maisons, une fois érigées, domineront le circuit de course automobile du même nom.
Nous avons aussi marché en forêt, très peu cependant, car des nuées de mouches noires nous ont tendu une embuscade. En plus d’être très très affamées, ces bestioles semblaient me trouver vraiment à leur goût. Mais Flo nous a rassurés: dans quelques semaines le pire sera passé. Enfin, moi je me demande s’il n’a pas dit ça pour éviter que tous ses chums qui doivent aller fêter la Saint-Jean chez-lui, ne se désistent en lisant mon billet…
Finalement, malgré tout ce que j’ai vu et admiré, ce week-end Laurentien a confirmé ma préférence pour l’Estrie. J’aime l’alternance de grands champs, de montagnes, de lacs et de forêts. Sur le chemin du retour, mon cœur battait au rythme des kilomètres et des panoramas qui défilaient de chaque côté de l’autoroute 10. Des belles fermes où paissaient des vaches, des champs nouvellement ensemencés qui alignaient leurs sillons bien droits, des vastes étendues vertes parfois plates, parfois vallonnées et bordées d’arbres. Puis à l’horizon, comme si toute cette beauté ne suffisait pas déjà à me couper le souffle, se profilaient les courbes bleutées des Appalaches. L’Estrie est vraiment incomparable.
Un jour ou l’autre il peut nous arriver de penser que l’herbe est plus verte chez le voisin, et je crois qu’il faut aller vérifier, histoire de s'en assurer. Mais souvent, en y regardant de plus près, on constate que l’autre vert est moins éclatant, que sa teinte nous plait nettement moins que celle qui pousse dans notre cour et qui, elle, émeut notre cœur…
1 commentaire:
Entièrement de ton avis , l'Estrie c'est sublime...
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