Sans elle, notre bonheur n’est pas aussi intense, aussi grand. Lorsqu’elle nous fait défaut, nous nous sentons pris au piège : D’un travail qui ne nous passionne plus, d’engagements périmés, d’attentes à sens unique ou de soi-disant devoirs. Souvent même, d’une vie qui n’est pas celle dont nous avions rêvé.
En son absence, nous choisissons parfois d’avoir plus d’argent et moins de temps. Son manque risque aussi de nous condamner à accepter ces présences lourdes et asphyxiantes qui drainent notre énergie et barbouillent notre humeur et qu’à tort nous croyons devoir subir au nom de l’amitié ou du lien familial.
Lorsque nous lui tournons le dos ou qu’on nous l’arrache, nous nous sentons brimés, muselés, pris dans un moule inconfortable dans lequel nous ne pouvons bouger sans nous faire quelques bleus.
En l’ignorant, nous acceptons une pléthore de contraintes, d’obligations, au détriment de notre propre bonheur. Nous oublions d’être fidèles à nous-mêmes, à nos convictions et parfois même à nos principes.
La liberté est le principal ingrédient de mon bonheur. Je ne saurais m’en passer. A certaines époques de ma vie, je l’ai négligée et elle m’a beaucoup manquée ; tellement, qu’en son nom, j’ai choisi de tout laisser tomber pour lui revenir. Je ne la quitterai plus jamais…
La liberté c’est me donner le droit de choisir. De créer ma vie avec tout ce que ça peut impliquer comme conséquences. De dire non parfois alors qu’il serait tellement plus simple de dire oui.
La liberté me permet aussi d’aimer mieux. Sans besoin de promesse, ni de serment, ces entraves jugées indispensables pour certains. De le choisir à chaque rencontre, librement, comme si c’était la première fois. De préférer l’incertitude aux acquis, l’improvisation, à la planification.
La liberté, c’est elle que je choisis, pour le meilleur et pour le pire…
En son absence, nous choisissons parfois d’avoir plus d’argent et moins de temps. Son manque risque aussi de nous condamner à accepter ces présences lourdes et asphyxiantes qui drainent notre énergie et barbouillent notre humeur et qu’à tort nous croyons devoir subir au nom de l’amitié ou du lien familial.
Lorsque nous lui tournons le dos ou qu’on nous l’arrache, nous nous sentons brimés, muselés, pris dans un moule inconfortable dans lequel nous ne pouvons bouger sans nous faire quelques bleus.
En l’ignorant, nous acceptons une pléthore de contraintes, d’obligations, au détriment de notre propre bonheur. Nous oublions d’être fidèles à nous-mêmes, à nos convictions et parfois même à nos principes.
La liberté est le principal ingrédient de mon bonheur. Je ne saurais m’en passer. A certaines époques de ma vie, je l’ai négligée et elle m’a beaucoup manquée ; tellement, qu’en son nom, j’ai choisi de tout laisser tomber pour lui revenir. Je ne la quitterai plus jamais…
La liberté c’est me donner le droit de choisir. De créer ma vie avec tout ce que ça peut impliquer comme conséquences. De dire non parfois alors qu’il serait tellement plus simple de dire oui.
La liberté me permet aussi d’aimer mieux. Sans besoin de promesse, ni de serment, ces entraves jugées indispensables pour certains. De le choisir à chaque rencontre, librement, comme si c’était la première fois. De préférer l’incertitude aux acquis, l’improvisation, à la planification.
La liberté, c’est elle que je choisis, pour le meilleur et pour le pire…
2 commentaires:
que vous écrivez bien...de mieux en mieux...
... et j'y prends de plus en plus de plaisir.
Merci, votre commentaire me touche sincèrement,
Sally Fée
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