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En ce jour de l’Épiphanie pour nos cousins et de la Fête des Rois pour nous, j’ai souligné l’événement en me livrant à une occupation mercantile qui, en fait, était un investissement. Un tout petit, soit dit en passant. Après avoir fureté dans deux commerces jérômiens, je me suis procuré quelques mètres de tissu, quatre tables à cartes et une chaise pliante.
Comment? Si j’ai décidé de me mettre au poker? Je ne parierais pas là-dessus! J’ai du mal à retenir les règles du jeu «Jungle Speed», alors s’il fallait que je me risque à jouer mon argent, j'en perdrais sûrement ma chemise et celle de mon Jules!
En fait, les coupons permettront à mes futurs élèves de réaliser leur premier projet qui consistera à confectionner un tablier avec une poche au devant. Ils découvriront de quelle façon sont tissés les fils qui forment la trame et la chaîne d’un tissu, ils apprendront ce qu’est le droit fil et comment s’y prendre pour obtenir une coupe parfaite. Quant aux tables pliantes, légères et juste de la bonne grandeur, elles seront déployées dans l’espace libre de mon atelier et recevront les machines à coudre portatives de mes apprenties couturières. Une fois les cours terminés, il ne me restera qu’à les escamoter, comme les chaises pliantes.
Ce sera mercredi prochain, dans le journal indépendant Accès, que paraîtra ma première annonce qui dira à peu près ceci : «Apprendre à coudre? Facile! Cours privés et semi-privés.»
Ça vous tente?
Comment? Si j’ai décidé de me mettre au poker? Je ne parierais pas là-dessus! J’ai du mal à retenir les règles du jeu «Jungle Speed», alors s’il fallait que je me risque à jouer mon argent, j'en perdrais sûrement ma chemise et celle de mon Jules!
En fait, les coupons permettront à mes futurs élèves de réaliser leur premier projet qui consistera à confectionner un tablier avec une poche au devant. Ils découvriront de quelle façon sont tissés les fils qui forment la trame et la chaîne d’un tissu, ils apprendront ce qu’est le droit fil et comment s’y prendre pour obtenir une coupe parfaite. Quant aux tables pliantes, légères et juste de la bonne grandeur, elles seront déployées dans l’espace libre de mon atelier et recevront les machines à coudre portatives de mes apprenties couturières. Une fois les cours terminés, il ne me restera qu’à les escamoter, comme les chaises pliantes.
Ce sera mercredi prochain, dans le journal indépendant Accès, que paraîtra ma première annonce qui dira à peu près ceci : «Apprendre à coudre? Facile! Cours privés et semi-privés.»
Ça vous tente?
5 commentaires:
Euh... ce serait quel jour?... Ça m'intéresse (!)...
Bonjour !
C'est amusant, ma fille, prof dans une école de stylisme lyonnaise, tient parallèlement un atelier de couture (à l'enseigne "Les doigts de fée...")où elle enseigne, entre autre, à ses élèves débutantes, l'art et la manière de réaliser des tabliers, tout comme vous.Mais étant donné la distance qui vous sépare l'une de l'autre, vous ne risquez pas de vous faire concurrence...
Cordialement.
Dommage que je sois de l'autre côté de la grande flaque, j'aimerais tellement apprendre.
Je voudrais bien être à l'autre bout de la 117, je m'inscrirais tout de suite à tes cours! Il me semble qu'avec toi comme prof, je serais une bonne élève...
@ Fitzsou, Mijo et Zoreilles:
Je suis tout à fait disposée à aller vous enseigner les rudiments de la couture!
Kuujjuaq, la France ou Rouyn-Noranda? Me voici, me voilà! Bon, évidemment, il vous faudra défrayer le prix du billet d'avion et celui du séjour.
Alors, quelles dates dois-je inscrire à mon calendrier?
@ François Sobieraj:
Quelle coïncidence! Ne me dites pas qu'en plus, elle a un chat qui se nomme Jules!
:O)
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