Claudine et moi ne fûmes pas seules hier soir, à nous souvenir. Autour de nous, des spectateurs conquis fredonnèrent les airs connus que nous ont servi, sur le plateau du théâtre Centennial de l’Université Bishop, les soixante choristes du Chœur Florilège. Leur spectacle intitulé «Te souviens-tu?», nous permit de revivre l’époque de la formation suédoise Abba, de réentendre les chansons à succès du regretté Joe Dassin et, oh! bonheur, de chantonner avec eux les meilleures tounes du groupe humoristique Rock et Belles Oreilles.
Comme nous, probablement, vous vous seriez attendus à un spectacle statique. Et bien, comme vous l’auriez sans aucun doute été, nous fûmes agréablement surprises. Une habile mise en scène, des choristes-comédiens doués et des chorégraphies délectables donnèrent à ce spectacle un petit air de comédie musicale, ce qui valut aux artistes une ovation spontanée et drôlement méritée.
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Je pus admirer le fruit de mon labeur de la semaine dernière lorsque, après l’entracte, le rideau se leva sur soixante capes noires. Sous leurs plis étaient dissimulés tout autant de choristes qui, de toute évidence, avaient des choses à nous cacher. Après l’interprétation du célèbre Fantôme de l’Opéra, dans un geste théâtral, ils laissèrent glisser leur cape de trois mètres sur le plancher de la scène, anéantissant du même coup mon travail de repassage…
À mes côtés, Claudine prit soudain un air déconfit. Pauvre amie, comme elle fut déçue! Elle avait cru, et visiblement espéré, que les basses, les ténors et les barytons allaient apparaître dans toute la splendeur de leur costume d’Adam. Hélas, elle dut se contenter de l’accoutrement à la mode des années 1980 qu’ils avaient revêtu.
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Même l’ami Steeve eut l’air d’avoir régressé… dans le temps. Il portait une abomin… euh, adorable chemise rouge à fleurs blanches qui lui donnait un petit air indéfinissable.
Je pus admirer le fruit de mon labeur de la semaine dernière lorsque, après l’entracte, le rideau se leva sur soixante capes noires. Sous leurs plis étaient dissimulés tout autant de choristes qui, de toute évidence, avaient des choses à nous cacher. Après l’interprétation du célèbre Fantôme de l’Opéra, dans un geste théâtral, ils laissèrent glisser leur cape de trois mètres sur le plancher de la scène, anéantissant du même coup mon travail de repassage…
À mes côtés, Claudine prit soudain un air déconfit. Pauvre amie, comme elle fut déçue! Elle avait cru, et visiblement espéré, que les basses, les ténors et les barytons allaient apparaître dans toute la splendeur de leur costume d’Adam. Hélas, elle dut se contenter de l’accoutrement à la mode des années 1980 qu’ils avaient revêtu.
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Même l’ami Steeve eut l’air d’avoir régressé… dans le temps. Il portait une abomin… euh, adorable chemise rouge à fleurs blanches qui lui donnait un petit air indéfinissable.
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Il fallait le voir, la bouche en cœur, faire des «tadumtadumdum» et des «humahumahum» en se trémoussant et en claquant des doigts.
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Mémorable...
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PS : Pour les détails succulents, vous pouvez cliquer sur les photos.
1 commentaire:
...Contente d'avoir pu revoir Steeve...
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