J’ai assez envie d’imiter ce Matthieu « avec deux t » Simard et quotidiennement, pendant 20 jours, tenter d’écrire un texte de 200 mots. Lui y est arrivé divinement. Avec une poignée de lettres, il a fabriqué tout plein d’histoires. Qui ne disent rien ou qui, au contraire, disent tout. Il a un sacré talent ce mec. J’essaie de ne pas en être jalouse. Et j’y arrive … presque.
Je ne suis pas envieuse de nature; je suis toujours heureuse du succès d’un tel, du fric d’une autre ou de la beauté des uns et des autres. Non pas que j’ai tout ce qu’ils ont, loin de là. Mais je suis satisfaite de mon sort et ce que reflète mon miroir pourrait être pire.
Là où le bât blesse, c’est que je suis une procrastinatrice accomplie et que je remets aux calendes grecques certains défis, comme celui de suivre un cours de dessin et d’apprendre à peindre. Ou l’autre, d’inonder des magazines et des hebdomadaires de lettres et de courriels pour leur proposer mes mots.
Mais un jour il arrivera celui avec un J majuscule. Et si ce fameux jour était le 1er de l’An? Celui des résolutions? Qui sait?
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