Avec la tempête qui sévit sur l’archipel, le balayant de rafales atteignant 60 nœuds (111.12 km/hre), j’ai très peu mis le nez dehors depuis dimanche dernier. Entre le moment où je m’extirpe du lit pour aller déjeuner, avant d’accomplir quelques petites tâches, et celui où l’horloge m’indique qu’il est temps d’aller dormir, il se passe peu de choses. Par conséquent, j’ai réalisé que mes sujets s’épuisaient; qu’allais-je bien pouvoir vous raconter, en 200 mots, durant les 12 prochains jours?
Comme je ne peux vous relater ce qui se passe à Saint-Pierre, n’en sachant strictement rien, trop occupée à rester bien au chaud, j’égaierai mon blog de courtes histoires inventées ou pas, de textes abracadabrants ou non, selon la fougue de mes neurones.
En attendant, voici le fruit d’une courte sortie faite hier en fin d’après-midi. Nous sommes allés admirer la mer déchaînée qui s’élançait à l’assaut des côtes, près de Savoyard. La lumière était insuffisante et mon horizon est approximatif à cause du vent qui tentait de m’arracher l’appareil des mains et ce, malgré que je sois restée assise dans la voiture pour prendre les photos. Néanmoins vous pourrez constater à quel point l’océan peut être impressionnant lorsqu’il est en colère.
2 commentaires:
Wow, sacrée photo! La mer, même déchaînée, me fascine et m'émerveille.
T'as de la chance d'être là en ce moment!
@ Zoreilles:
Ah oui? tu trouves? Tu es bien indulgente. Rien à voir avec la splendeur que j'ai admirée sur place!
J'adore voir la nature lorsqu'elle se déchaîne...vent, pluie, neige, orage.
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